Saint Barth les flots
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Saint Barth les flots
Cette année, pas plus qu’en 2012, ni eau turquoise ni string à notre Saint Barth périgourdin, mais des flots abondants, venus des cieux, qui ont copieusement lavé hommes et machines
Un très bel essaim de super-frelons bourdonnait dès le lever du jour : Pascal C, Juju, Fabrice encore tout emplâtré de pâtes, pizzas italiennes et Lambrusco, Aurélien, La boulange et fils, N’Doulat le président à vie, Marmiton, deux gendres JC et Rémi, Eddylion. Il faut signaler le retour en course de l’épervier des glycines venu tâter de la côte après sa descente précipitée d’échelle, et aussi la présence en vedette régionale du frère Jean le Trappiste, natif de Marthon émigré à Savignac de Nontron.
Le parcours assez facile pour la majorité des Super-frelons s’étirait jusqu’à Saint-Mathieu en Haute-Vienne à travers de superbes paysages parsemés d’étangs, lacs et petits castels.
Finalement il a quand même fallu parcourir 50 km et 920 m de dénivelé. Ce qui montre que les parcours avec de grandes côtes sont parfois moins éprouvants que les circuits où l’on grimpe dix fois sur le même petit mamelon bien dur, sans aucun plaisir (S-Y).
Un solide balisage, de bons ravitaillements, des bénévoles aux petits soins pour les gourmands-gourmets restés à l’apéritif caractérisent cette excellente matinée hélas trop pluvieuse. Dommage pour les sympathiques organisateurs de la fête.
Un très bel essaim de super-frelons bourdonnait dès le lever du jour : Pascal C, Juju, Fabrice encore tout emplâtré de pâtes, pizzas italiennes et Lambrusco, Aurélien, La boulange et fils, N’Doulat le président à vie, Marmiton, deux gendres JC et Rémi, Eddylion. Il faut signaler le retour en course de l’épervier des glycines venu tâter de la côte après sa descente précipitée d’échelle, et aussi la présence en vedette régionale du frère Jean le Trappiste, natif de Marthon émigré à Savignac de Nontron.
Le parcours assez facile pour la majorité des Super-frelons s’étirait jusqu’à Saint-Mathieu en Haute-Vienne à travers de superbes paysages parsemés d’étangs, lacs et petits castels.
Finalement il a quand même fallu parcourir 50 km et 920 m de dénivelé. Ce qui montre que les parcours avec de grandes côtes sont parfois moins éprouvants que les circuits où l’on grimpe dix fois sur le même petit mamelon bien dur, sans aucun plaisir (S-Y).
Un solide balisage, de bons ravitaillements, des bénévoles aux petits soins pour les gourmands-gourmets restés à l’apéritif caractérisent cette excellente matinée hélas trop pluvieuse. Dommage pour les sympathiques organisateurs de la fête.
Eddylion- Messages : 218
Date d'inscription : 08/05/2011
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